baku (2015)
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created by Giacomo Ravicchio (Danemark)
with the collaboration of Kohey Nakadachi (Japan).
Musique de Jérôme Baur (Lausanne, Switzerland).
28 févr. 2015
baku
PLAY-STOP: Baku - Procession 1 (extrait)
– CAST –
Korin Sakura, Elise Müller-Ravicchio, Nyoze Gamon, Lars Begtrup, Eva U. Handberg (technician),
Artistic Director: Giacomo Ravicchio,
Cie Meridiano Theater, Danemark.
Dramaturgy consultant: Bent Holm, Danemark.
With the collaboration of Kohey Nakadachi, Artistic Director of the KIO Cie, Japan.
Musique de Jérôme Baur (Lausanne, Switzerland).
– ABOUT –
This is a co-production between The Kio Company in Osaka, Japan and the Meridiano Theatre, Denmark. “BAKU” is a visual and musical performance about ’war and loss’ for ages 12 and up. “BAKU” is a spirit, in the shape of a tapir that eats evil dreams. No matter who declares them- selves the winner of a war, the result of war is always ’loss’ for all parties involved. The biggest nightmare in the world is always about loss.
– À PROPOS –
BAKU est une chimère de la mythologie japonaise, illustrée par un ”assemblage d’animaux” qui diffère suivant les contrées : tapir, trompe d’éléphant, queue de boeuf, oeil de rhinocéros, griffes de lion ou tigre.
De fait, les cauchemars sont ainsi libérés et reviennent hanter les hommes.
Les deux metteurs en scène sont partis de cette légende du BAKU pour créer un spectacle qui parle entre autres de l’inexorable violence humaine, ou, lorsqu’une arme est présente alors elle sévira forcément à un moment ou à un autre.
En opposition aux pulsions de mort, le BAKU apparaît, meurt puis renaît au travers des âges à l’image de la pulsion de vie dont ”l’humanité” est capable. De cette grande mozaique apparaît peu à peu une estampe de l’éternel combat entre les deux forces.
Au regard de la sombre actualité à laquelle cette création ne se réfère pourtant jamais directement, elle est (selon moi) un acte de Résistance. Avec toute l’humilité et la force auxquelles une théâtre peut bien-sûr prétendre.
“BAKU is an important and powerful performance!”
POLITIKEN - Teatret - Nonna Dithmer